Pertinence et fiabilité des cartes

En arrière plan, la carte de l’empreinte humaine en 2009

Pertinence et fiabilité

Pertinence
La pertinence d’une carte se réfère à son adéquation par rapport à l’objectif ou à l’usage prévu. Une carte est considérée comme pertinente si elle fournit les informations nécessaires pour répondre à une question spécifique, soutenir une analyse géographique ou illustrer un phénomène particulier. Par exemple, une carte montrant les zones inondables est pertinente pour la planification des urgences dans les zones sujettes aux inondations. La pertinence dépend donc de la manière dont la carte répond aux besoins de l’utilisateur ou du contexte dans lequel elle est utilisée.

La pertinence se concentre sur l’adéquation de la carte à un objectif spécifique ou à un usage particulier.

Des facteurs qui affectent la pertinence

L’échelle de la carte : elle doit être correcte et adaptée

Le fond de carte: il doit être en adéquation avec l’objet analysé

L’information géographique: il faut être attentif à sa nature, sa pixellisation et la date des données

La projection cartographique: elle doit être adaptée à l’objet traité

Les figurés cartographiques: ils doivent respecter certaines règles

 

Fiabilité
La fiabilité d’une carte fait référence à la confiance que l’on peut avoir dans l’exactitude et l’authenticité des données cartographiques présentées. Une carte fiable est basée sur des sources de données crédibles, des méthodes de collecte rigoureuses et des standards cartographiques appropriés. Les informations présentées sur une carte fiable sont précises, mises à jour et représentent fidèlement la réalité géographique. Par exemple, une carte produite par une agence gouvernementale utilisant des relevés topographiques récents est généralement considérée comme fiable. La fiabilité est donc essentielle pour garantir l’exactitude des informations cartographiques et la crédibilité de la carte dans son ensemble.

La fiabilité se concentre sur la précision et l’authenticité des données cartographiques présentées.

Des facteurs qui affectent la fiabilité

Ces facteurs sont internes et externes.

  • Les facteurs internes concernent le contenu du document . Il faut vérifier l’exactitude des informations géographiques.
  • Les facteurs externes concernent le contexte social, scientifique, éditorial, juridique, économique. il faut vérifier qui a publié la carte, à quel moment, à quel endroit, dans quel contexte, si c’est une réponse à d’autres productions, si c’est dans le cadre d’un débat …

 

L’échelle de la carte

L’échelle numérique est souvent incorrecte

… si la taille de la carte est modifiée, par exemple lorsqu’elle est insérée dans un texte, une présentation …

L’échelle numérique de la carte des principales villes est incorrecte.  Si la distance Bruxelles-Arlon est de 167 km à vol d’oiseau, corrigez-la en fonction de l’affichage à l’écran ou au tableau.

L’échelle est parfois inadaptée

… comme illustré ci-dessous.

L’échelle d’une carte est l’inverse du rapport d’une distance et de sa représentation.

L’échelle cartographique se présente sous deux formes :

  • L’échelle graphique : “ligne droite ou abaque matérialisant sur la carte, l’échelle numérique”;
  • L’échelle numérique est le rapport d’une distance mesurée sur la carte et sa valeur réelle sur le terrain. Une échelle de 1/100 000 signifie que 1 cm sur  la carte représente 100 000 cm, soit 1000 mètres (ou 1 kilomètre) sur le terrain. En d’autres termes, un objet sur la carte sera 100 000 fois plus grand dans la réalité.

Particularités: une carte à grande échelle représente une petite surface, mais avec beaucoup de détails tandis qu’une carte à petite échelle couvre une grande surface en sacrifiant au détail de la représentation.

Le fond de carte

Il doit être en adéquation avec l’objectif de la carte

Par exemple, une carte montrant les régions vinicoles n’est pas pertinente pour la planification des transports en commun.

Le fond de carte est le contenant de l’information à représenter. Il sert de support et permet la spatialisation du phénomène. Il doit être adapté à la complexité de la carte à réaliser et à l’objectif du projet cartographique.

Les divisions administratives ne facilitent pas la lecture de la géographie des voies navigables et inversement alors que le relief de Belgique permet de comprendre l’importance du réseau de voies navigables au nord du pays.

Le choix du fond de carte doit valoriser l’objet de la carte.

L’information géographique

Elle doit être adaptée à l’objet traité

Cette adaptation concerne la nature de l’information et sa résolution.

La nature de l’information géographique

Les exemples ci-dessous illustrent la répartition de la population. Le découpage par province n’est pas pertinent, il masque des éléments clés de la spatialisation de la répartition.

La résolution de l’information géographique

L’information géographique est à une résolution définie par le concepteur de la base de données. Cette résolution doit être en adéquation avec l’analyse spatiale souhaitée.

À titre d’exemple, la première carte offre une résolution adaptée pour une analyse à l’échelle de l’Europe mais pas à l’échelle de Liège et ses environs. La 3e carte montre une résolution adaptée. 

À titre d’exemple, la carte du relief “ETOPO 2022 15 arc-second global relief model from NOAA NCEI” est adapatée pour une analyse du relief à l’échelle de l’Europe mais par à l’échelle de la confluence de l’Ourthe et de la Meuse. Pour cette dernière, le modèle numérique publié sur WalOnMap est plus adapté.

La nature de l’information

L’information géographique de la carte constitue le fond du message.

La nature de l’information géographique doit être en phase avec l’objet. Par exemple, si l’analyse porte sur la répartition spatiale de la population à l’échelle de la Belgique, 

Le concept de résolution

La résolution dans le contexte de la cartographie numérique se rapporte à la taille des pixels utilisés pour représenter les données géographiques sur une carte. Plus la résolution est élevée, plus les pixels sont petits et plus la carte est détaillée.

Lorsque les données géographiques (informations qui sont associées à une localisation ou géolocalisées) sont converties en une représentation numérique pour créer une carte, elles sont divisées en pixels. La pixellisation se produit lorsque ces pixels sont utilisés pour représenter des caractéristiques géographiques. Une résolution plus basse signifie que les pixels sont plus gros et que les détails sont moins précis. En revanche, une résolution plus élevée signifie que les pixels sont plus petits et que les détails sont plus fins.

Effets de la pixellisation : Une pixellisation excessive peut entraîner une perte de détails et une représentation moins précise des caractéristiques géographiques. Par exemple, les courbes peuvent sembler angulaires plutôt que fluides, et les détails fins peuvent être perdus. Cela peut affecter la capacité des utilisateurs à interpréter correctement la carte et à tirer des conclusions précises à partir des données présentées.

Choix de la résolution : Le choix de la résolution dépend de l’objectif de la carte et des données géographiques représentées. Pour certaines applications, une résolution plus basse peut être acceptable, tandis que pour d’autres, une résolution plus élevée est nécessaire pour capturer les détails précis. Par exemple, une carte utilisée pour la planification urbaine peut nécessiter une résolution élevée pour représenter avec précision les limites des propriétés, tandis qu’une carte utilisée pour une analyse régionale plus large peut être acceptable avec une résolution plus basse.

 En résumé, la pixellisation de l’information géographique se réfère à la manière dont les données sont représentées sous forme de pixels sur une carte numérique, avec une résolution plus élevée produisant une représentation plus détaillée et précise des caractéristiques géographiques.

La date des données peut être déterminante

La date de péremption des données dépend de l’objet traité

Par exemple, une carte du relief à l’échelle de la Belgique de 1950 est encore parfaitement actuelle puisque le relief n’a à peu près pas évolué à cette échelle depuis lors.

À l’inverse, une carte de la répartition de l’habitat de 1971 n’est plus adaptée pour la plupart des espaces en Belgique.

Données obsolètes ?

Si les données utilisées pour créer la carte sont obsolètes ou ne reflètent plus la réalité géographique actuelle, la carte peut ne pas être pertinente pour la prise de décision ou l’analyse contemporaine.

Il n’est donc pas possible de fixer une date de péremption des données géographiques. Cela dépend de la vitesse de leur évolution. Des données socioéconomiques sont généralement plus vite obsolètes que des données physiques.

 

La projection cartographique

Le choix dépend du sujet traité

La projection cartographique déforme obligatoirement les territoires. Choisir une projection plutôt qu’une autre donne à voir le monde d’une façon plutôt que d’une autre. Si le choix n’est pas neutre (voir dans le cadre de la fiabilité), il peut aussi s’avérer plus ou moins pertinent: observez les deux exemples ci-dessous.

Une projection – Késako?

À retenir

  • Ce qu’est une projection cartographique
  • Caractériser en quelques mots et reconnaitre une projection cylindrique, azimutale et conique
  • Caractériser et distinguer les projections conforme et équivalente
  • pourquoi choisir l’une ou l’autre projection – Illustrer la réponse à l’aide d’exemples.

Outils

World Map Generator

Graticule

The True Size Of

Les figurés cartographiques

Quelques règles de base de la cartographie

Ces règles concernent trois éléments

  1. les types de figurés : des points, des lignes, des surfaces;
  2. la hiérarchie des figurés : la taille, la couleur, l’intensité;
  3. les éléments constitutifs d’une représentation cartographique : titre, échelle, orientation, légende, sources.

 À propos des éléments constitutifs d’une représentation cartographique

Une carte doit comporter un titre, une orientation, une légende, une échelle et des sources.

Dans l’enseignement en Belgique, on fait souvent référence à l’acronyme TOLES comme moyen mnémotechnique pour retenir les éléments constitutifs de la carte.

  • T : Titre – C’est le nom de la carte qui décrit son contenu ou son sujet principal. Le titre doit être clair et informatif pour aider le lecteur à comprendre rapidement de quoi parle la carte.

  • O : Orientation – Cela se réfère à la direction nord sur la carte. L’orientation est importante pour aider les lecteurs à comprendre dans quelle direction se trouvent les différents éléments sur la carte par rapport au nord. Par convention, le nord est en direction du haut de la carte. Si cette convention n’est pas appliquée (que ce soit pour une carte ou des vues verticales), la direction du nord doit impérativement figurer sur la carte.

  • L : Légende – La légende explique les symboles et les couleurs utilisés sur la carte. C’est essentiel pour que les lecteurs comprennent la signification des différents éléments cartographiques et interprètent correctement la carte. N’importe quelle annotation sur une carte ou une image géographique doit être accompagnée d’une légende.

  • E : Échelle – L’échelle montre la relation entre les distances sur la carte et les distances réelles sur le terrain. Cela permet aux lecteurs de déterminer les distances réelles entre les différents points représentés sur la carte. Cette échelle doit nécessairement figurer sur la carte ou la vue verticale. Il existe toutefois une exception: si l’échelle est vaste, par exemple à l’échelle du globe, l’échelle est délicate à interpréter puisqu’elle peut varier en fonction de la latitude de manière différente selon la projection. Si l’échelle est indiquée, il faut alors préciser pour quels espaces elle est valide. C’est pour cette raison qu’on évite de placer une échelle sur un planisphère.

  • S : Sources – Les sources indiquent d’où proviennent les données utilisées pour créer la carte. Cela inclut généralement des informations sur les organisations, les publications ou les bases de données qui ont fourni les données cartographiques. La question des sources est aussi abordée en lien avec la fiabilité de la carte.

Ces éléments sont essentiels pour créer des cartes claires, précises et informatives, et ils sont souvent enseignés comme une méthode mnémonique sous l’acronyme “TOLES” pour aider les étudiants à se rappeler de les inclure lors de la création de cartes en géographie.

Exercices

Productions sur une même StoryMaps en séparant chaque exercice sur un volet latéral

Exercice 1 – Manipuler les figurés à partir de l’atlas numérique de Belgique

Sur la base de l’atlas numérique de Belgique, ouvrez la carte de la population étrangère totale et modifiez les figurés de manière à rendre la carte non conforme aux règles de base de la cartographie.

Production attendue: la carte originale conforme et, en balayage, la carte modifiée. L’explicitation de la non-conformité en quelques phrases.

Exercice 2 – Manipuler d’autres données à partir de l’atlas numérique de Belgique

Sur la base de l’atlas numérique de Belgique, ouvrez une carte au choix et modifiez les figurés de manière à rendre la carte non conforme aux règles de base de la cartographie.

Production attendue: la carte originale conforme et, en balayage, la carte modifiée. L’explicitation de la non-conformité en quelques phrases.

Exercice 3. Manipuler les figurés à partir d’ArcGIS Online

Sur la base de la couche du recensement de la population en Belgique en 2011, adaptez les figurés de manière à rendre la carte conforme.

Production attendue: la carte originale et, en balayage, la carte modifiée. L’explicitation de la mise en conformité en quelques phrases.

 

Exercice 4. Manipuler les figurés à partir d’ArcGIS Online

Ouvrez une carte ou une couche au choix  et adaptez les figurés de manière à rendre la carte conforme ou non conforme.

Production attendue: la carte originale et, en balayage, la carte modifiée. L’explicitation de la mise en conformité (ou non-conformité) en quelques phrases.

Quelques règles de base de la cartographie

Ces règles concernent trois éléments

  1. les types de figurés : des points, des lignes, des surfaces;
  2. la hiérarchie des figurés : la taille, la couleur, l’intensité;
  3. les éléments constitutifs d’une représentation cartographique : titre, échelle, orientation, légende, sources.

À propos des figurés et de leur hiérarchie

il en existe trois types (et pas plus!): des figurés ponctuels (points, forme géométrique,…) – linéaires (traits/flèches) – de surface (plages de valeurs ou de couleurs).

On doit utiliser l’un ou l’autre figuré en fonction de l’objet représenté.

Les figurés ponctuels

  • Des faits ou phénomènes ponctuels (maison, église, localisation d’une zone d’extraction …) sont représentés par des figurés ponctuels.
  • La forme du figuré pourra varier si des faits ou phénomènes de natures différentes sont cartographiés.
  • La taille du figuré variera si vous vous souhaitez faire apparaitre pour un même fait ou phénomène une hiérarchie (un maison plus grosse ou plus petite …).
  • Un figuré ponctuel est aussi utilisé pour représenter des valeurs absolues (nombre d’habitants, production de pétrole, PIB…). Comme pour tous les figurés ponctuels, la taille de ce dernier sera fonction de la valeur absolue.

Les figurés linéaires

Ils sont utilisés pour représenter des éléments linéaires tels que des routes, des frontières,… mais aussi des flux. Dans ce cas, la taille de la ligne (ou flèche) sera proportionnelle à l’intensité du flux.

La représentation des flux nécessite une attention toute particulière vis-à-vis de la projection cartographique et la gestion de la largeur du trait et de l’intensité. Des flux sur des plus grandes distances peuvent donner l’impression d’un volume plus important du fait de la plus grande visibilité du trait.

Les figurés de surface (plages)

Ces figurés sont utilisés pour représenter des valeurs relatives. Par exemple, un fait ou un phénomène dont la valeur dépend d’une surface donnée (par commune, par Région, par km²…) ou le % de migrants par rapport à la population d’un territoire donné … Dans ce cas, il n’est pas question de la taille puisque le contour surfacé doit dépendre de la répartition de la variable ou d’un découpage statistique.

Les grisés, hachures ou couleurs sont utilisés pour quantifier la variable. Dans ce cas, il faut nécessairement que la gradation, la densité ou le code soit représentatif de la hiérarchisation.

  • Gris clair pour une valeur faible ⇒ gris foncé pour une valeur plus forte
  • Hachures larges pour une valeur faible ⇒ hachures serrées pour une valeur élevée
  • Couleur claire pour une valeur faible ⇒ couleur foncée pour une valeur élevée

Vis-à-vis des personnes qui présentent des difficultés à identifier les couleurs, il est plus judicieux d’utiliser des dégradés avec des nuances tranchées et éviter d’utiliser un double nuancier.

Exemples de manipulations cartographiques

Les sources cartographiques et les intentions de l’auteur

Application dans le champ d’un atlas numérique

Pour être fiable, au niveau interne, une carte doit indiquer ses sources et celles-ci doivent être vérifiées ou recoupées. Au niveau externe, l’auteur ou l’institution qui publie la carte doit être connu/reconnu et ses intentions doivent être déclarées. Les intentions peuvent être d’ordre scientifique dans le cadre d’une étude ou d’ordre pédagogique. Le fait d’être engagé ne discrédite pas une carte mais il faut être informé de l’engagement : une carte publiée par Greenpeace est engagée, une carte du FN aussi mais les deux n’auront pas le même crédit.

 

Exercices

Exercice 1 – Sélectionner des couches fiables en fonction de la réputation de l’auteur

Sur votre compte ArcGIS Online, effectuez une recherche de couches avec comme mots-clés “population world” et observez les 10 premiers résultats.

Complétez un tableau dans lequel vous classez les couches que vous jugez fiables et peu fiables sur la base de l’auteur et justifier brièvement votre sélection.

Production attendue: un tableau de classement

Exercice 2 – Mise à jour de son atlas numérique

Complétez votre atlas numérique afin qu’il comporte au moins 5 cartes et 20 couches.

  • Pour les cartes, complétez/traduisez les informations géographiques afin de rendre la carte fiable.
  • Pour les couches, ne retenez que celles qui sont fiables.

L’UE relative à la recherche documentaire nécessitera d’alimenter votre atlas en lien avec les thématiques déforestation, aléas tectoniques, aléas d’inondation, répartition de la population et ressources agricoles. C’est déjà l’occasion de le compléter dans ce sens.

Quelques points d’attention en ce qui concerne les source

Lorsque vous évaluez les sources de données cartographiques pour déterminer la fiabilité d’une carte en géographie, voici quelques points d’attention à prendre en compte :

  1. Crédibilité de la source : Examinez la crédibilité de l’organisation ou de l’individu qui a produit la carte. Les institutions gouvernementales, les instituts de recherche, les universités et les organisations internationales sont souvent des sources crédibles. Vérifiez si la source a une réputation établie dans le domaine de la géographie ou de la cartographie.

  2. Objectif de la source : Comprenez l’objectif et la mission de la source de données. Les sources qui ont pour mandat de collecter, analyser et diffuser des informations géographiques de manière professionnelle sont généralement plus fiables que celles dont l’objectif principal est commercial ou politique.

  3. Transparence et documentation : Recherchez des informations sur la méthodologie de collecte des données, les techniques de traitement et les standards utilisés par la source. Les sources qui fournissent une documentation détaillée et transparente sur leurs méthodes sont plus fiables car elles permettent une évaluation critique de la qualité des données.

  4. Mises à jour et maintenance : Vérifiez si la source met régulièrement à jour ses données cartographiques pour refléter les changements dans les caractéristiques géographiques. Les sources qui maintiennent un processus de mise à jour régulier sont plus fiables car elles garantissent que les données sont actuelles et précises.

  5. Réputation et revues par les pairs : Consultez des avis d’experts, des critiques ou des revues par les pairs sur la source de données. Les sources qui ont été évaluées positivement par d’autres experts en géographie ou en cartographie sont généralement considérées comme plus fiables.

  6. Considérations politiques ou commerciales : Soyez conscient des influences politiques ou commerciales qui pourraient affecter la fiabilité des données. Les sources qui sont soumises à des pressions politiques ou commerciales peuvent être moins fiables car elles pourraient être sujettes à des biais ou à des manipulations.