Accès à la carte ICI

Accès à la story ICI

(utilisez le traducteur automatique de Google pour l’affichage en français)


Les êtres humains ont besoin de nourriture, d’un abri et d’eau pour survivre. Notre planète nous fournit les ressources qui nous permettent de satisfaire ces besoins et bien d’autres encore. Mais quel est l’impact exact que nous exerçons sur notre planète ? Et arriverons-nous à un point où la Terre ne pourra plus supporter notre population croissante ?

Tout comme un compte bancaire permet de suivre l’argent dépensé et gagné, la relation entre la consommation humaine de ressources et le nombre de ressources que la Terre peut fournir, notre empreinte humaine, peut être mesurée. Notre empreinte humaine peut être calculée pour un individu, une ville, un pays, et quantifie l’intensité des pressions humaines sur l’environnement. La couche cartographique “Empreinte humaine” a pour but de quantifier l’intensité des pressions humaines sur l’environnement en calculant une valeur représentant l’ampleur de l’empreinte humaine par kilomètre carré (0,39 miles carrés) pour chaque biome.

Cette couche cartographique a été créée par des scientifiques de la Wildlife Conservation Society et du projet “Empreinte humaine” de l’université de Columbia pour mettre en évidence les endroits où les pressions humaines sont les plus extrêmes, dans l’espoir de réduire les dommages environnementaux. La carte de l’empreinte humaine pose la question suivante : où se trouvent les régions du monde les moins influencées et les plus “sauvages” ?

La carte de l’empreinte humaine a été produite en combinant neuf couches de données mondiales qui visualisent dans l’espace ce que l’on suppose être les principales façons dont nous influençons l’environnement. Ces couches comprennent la pression démographique humaine (densité de population), l’utilisation des terres et des infrastructures par l’homme (zones bâties, éclairage nocturne, utilisation des terres/couverture des terres), et l’accès humain (côtes, routes, voies ferrées, rivières navigables). En fonction de la quantité de chevauchement entre les couches, chaque valeur de kilomètre carré est mise à l’échelle entre 1 et 100 pour chaque biome. Cela signifie que si une zone du biome de la forêt tropicale humide obtient une valeur de 1, ce kilomètre carré de terre fait partie des 1 % de zones les moins influencées/les plus sauvages de son biome. Sachant cela, nous pouvons aider à préserver les zones les plus sauvages de chaque biome, tout en indiquant où commencer à atténuer les pressions humaines dans les zones à forte empreinte humaine.

Comment pouvez-vous réduire votre empreinte humaine individuelle ? En voici quelques exemples :

  • Recyclez : Le recyclage permet de préserver les ressources, de réduire la pollution de l’eau et de l’air et de gagner de la place dans les décharges surpeuplées.
  • Utilisez moins d’eau : L’Américain moyen utilise 310 litres (82 gallons) d’eau par jour ! Réduisez votre consommation d’eau en prenant des douches plus courtes, en fermant le robinet lorsque vous vous brossez les dents, en évitant de verser l’excès d’eau potable dans l’évier et en lavant vos fruits et légumes dans un bol d’eau plutôt que sous le robinet.
  • Réduisez vos déplacements en voiture : Quand vous pouvez marcher, faire du vélo ou prendre le bus au lieu de conduire. Même trois kilomètres (deux miles) en voiture mettent environ deux livres de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère. Si vous devez conduire, essayez de faire du covoiturage avec d’autres personnes pour réduire la pollution. Enfin, évitez le service au volant ! Vous polluez davantage lorsque vous faites la queue pendant que votre voiture émet des gaz polluants.
  • Sachez combien vous consommez : La plupart des gens n’ont pas conscience de ce qu’ils consomment chaque jour. Calculez votre empreinte écologique individuelle pour voir comment vous pouvez réduire votre consommation ici.
    Implications systémiques : Individuellement, nous sommes une erreur d’arrondi. Prenez le temps de comprendre comment nos actions individuelles peuvent contribuer à des changements plus systémiques qui pourraient avoir un impact plus important sur la réduction de l’empreinte écologique globale de l’humanité.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Ces couches sont intégrées à l‘atlas géographique du cours ICI